Accueil> Les poètes> Philippe Desportes
Ô mon coeur plein d'ennuis, que trop prompt j'arraché
Ô Songe heureux et doux ! où fuis-tu si soudain
Pourquoi si follement croyez-vous à un verre
Prière au sommeil
Qu'on m'arrache le coeur, qu'on me fasse endurer
Quand j'approche de vous, et que je prends l'audace
Quand je pouvais me plaindre en l'amoureux tourment
Quand nous aurons passé l'Infernale rivière
Quand quelquefois je pense à ma première vie
Que servirait nier chose si reconnue
Que vous m'allez tourmentant
Rosette, pour un peu d'absence
S'il est vrai que le ciel ait sa course éternelle
Si la foi plus certaine en une âme non feinte
Si la loi des amours saintement nous assemble
Si la vierge Erigone, Andromède, et Cythère
Solitaire et pensif, dans un bois écarté
Sommeil, paisible fils de la Nuit solitaire
Sonnet spirituel (XVIII)
Sur les abysmes creux des fondements poser
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