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De Oluire, médecin, et Cacus, ancien voleur de Étienne Forcadel

De Oluire, médecin, et Cacus, ancien voleur

Si Cacus le rusé voleur
Eût été plus méchant,
Oluire, je te peindrais de sa couleur,
Mais en tous points tu es bien pire ;
Il ôta les biens sans occire,
Ne fais tu pis à l'escient,
Quand l'argent ne te peut suffire,
Ains fais mourir le patient ?
Tu dis le ciel auteur du fait.
La terre couvre ton méfait.


En attente de lecture.

Les poèmes de Étienne Forcadel

 

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