Accueil> Les poètes> Clovis Hesteau de Nuysement
Afin qu'à l'avenir on t'adore, ô Déesse
Combien, combien de fois, au soir sous la nuit brune
Comme on voit en été une bruyante nue
De la cime des monts les fiers torrents se roulent
Du soleil radieux la brillante splendeur
Le vautour affamé qui du vieil Prométhée
Maintenant que le Ciel, plein d'une alme influence
Or que le grand flambeau qui redore les Cieux
Passants, ne cherchez plus dessous l'Orque infernal
Puisse en dépit du Ciel et du grand Jupiter
Quand le grand oeil du Ciel tournoyant l'horizon
Un grand voile obscurci parmi l'air s'étendait
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