Accueil> Les poètes> François Scalion de Virbluneau
Adriane, mon coeur, baise-moi, je te prie
Cent et cent fois j'ai désiré pouvoir
Daphné se vit en laurier convertie
De ta lèvre mignarde un fin sucre courant
Douce maîtresse et douces vos façons
Doucette voix qui confortes mon âme
Étant au lit couché, au lieu de reposer
Gentil tertre élevé sur la blanche poitrine
Ha ! main qui doucement me déchirez le coeur
Ô agréable Songe, où t'en vas-tu si vite ?
Ô Songe humain et divin tout ensemble
Oeil mon petit mignon, ma douce friandise
Pour donner de ma foi les preuves manifestes
Songeant la nuit, bien souvent je pense être
Voici du seul Phénix pourtraite la figure
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