Accueil> Les poètes> Jean-Antoine de Baïf
A Meline
Après les vents, après le triste orage
Aubade de May
Babillarde, qui toujours viens
Bien, je l'ay dit, je le confesse
Ces yeux ces yeux, doux larrons de mon ame
D'Amour d'Amour je fu je fu blessé
D'un chapeau qui fleuronne
De Rose
Depuis le jour que mon ame fut prise
Depuis qu'Amour ma poitrine recuit
Du Printemps
Durant l'esté, par le vergier grillé
Épitaphe
Francine a si bonne grace
Ha, que tu m'es cruelle
Haute beauté dans une humble pucelle
Helas, si tu me vois constant en inconstance
L'Amour qui me tourmente
La Rose
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