Accueil> Les poètes> Joachim du Bellay
Telle que dans son char la Bérécynthienne
Tels que l'on vit jadis les enfants de la Terre
Toi qui de Rome émerveillé contemples
Tout ce qu'Egypte en pointe façonna
Tout effrayé de ce monstre nocturne
Tout le parfait dont le ciel nous honore
Tu dis que Du Bellay tient réputation
Tu ne crains la fureur de ma plume animée
Tu ne me vois jamais, Pierre, que tu ne die
Tu sois la bienvenue, ô bienheureuse trêve !
Tu t'abuses, Belleau, si pour être savant
Un plus savant que moi, Paschal, ira songer
Une louve je vis sous l'antre d'un rocher
Veux-tu savoir, Duthier, quelle chose c'est Rome
Villanelle
Vivons, Gordes, vivons, vivons, et pour le bruit
Voyant l'ambition, l'envie, et l'avarice
Vu le soin ménager dont travaillé je suis
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