Accueil> Les poètes> Joachim du Bellay
Ny par les bois les Driades courantes
Ô beaux cheveux d'argent mignonnement retors
Ô combien est heureux qui n'est contraint de feindre
Ô marâtre nature (et marâtre es-tu bien
Ô qu'heureux est celui qui peut passer son âge
Ô que celui était cautement sage
Ô que tu es heureux, si tu connais ton heur
Ô trois et quatre fois malheureuse la terre
On donne les degrés au savant écolier
Ores, plus que jamais, me plaît d'aimer la Muse
Où que je tourne l'oeil, soit vers le Capitole
Pâles esprits, et vous ombres poudreuses
Panjas, veux-tu savoir quels sont mes passe-temps
Par armes et vaisseaux Rome dompta le monde
Plus qu'aux bords Aetëans le brave fils d'Eson
Plus riche assez que ne se montrait celle
Prélat, à qui les cieux ce bonheur ont donné
Puis m'apparut une pointe aiguisée
Qu'heureux tu es, Baïf, heureux, et plus qu'heureux
Quand ce brave séjour, honneur du nom Latin
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