poésie de fleurs

Accueil> Les poètes> Joachim du Bellay

Les Poèmes de Joachim du Bellay


Celle qui de son chef les étoiles passait

Cent fois plus qu'à louer on se plaît à médire

Cependant qu'au palais de procès tu devises

Cependant que la Cour mes ouvrages lisait

Cependant que Magny ...

Cependant que tu dis ta Cassandre divine

Cependant que tu suis le lièvre par la plaine

Ces grands monceaux pierreux, ces vieux murs que tu vois

Ceux qui sont amoureux, leurs amours chanteront

Chant du désespéré

Combien que ton Magny ait la plume si bonne

Comme jadis l'ame de l'univers

Comme l'on voit de loin sur la mer courroucée

Comme le champ semé en verdure foisonne

Comme le marinier, que le cruel orage

Comme on passe en été le torrent sans danger

Comme un qui veut curer quelque cloaque immonde

Comte, qui ne fis onc compte de la grandeur

Cousin, parle toujours des vices en commun

D'un vanneur de blé aux vents

 

<< < 1 | 2 | 3 | 4 | 5 > >>

Cet espace peut être le vôtre. Contactez-nous pour plus d'informations.

Accueil | Mentions légales | Politique de confidentialité | Contact