poésie de fleurs

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Les Poèmes de Joachim du Bellay


Finalement sur le point que Morphée

Flatter un créditeur, pour son terme allonger

France, mère des arts, des armes et des lois

Fuyons, Dilliers, fuyons cette cruelle terre

Gordes, à m'est avis que je suis éveillé

Gordes, j'ai en horreur un vieillard vicieux

Gordes, que Du Bellay aime plus que ses yeux

Heureux celui qui peut longtemps suivre la guerre

Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage

Heureux, de qui la mort de sa gloire est suivie

Ici de mille fards la traïson se déguise

Il fait bon voir, Paschal, un conclave serré

J'aime la liberté, et languis en service

Je fus jadis Hercule, or Pasquin je me nomme

Je hais du Florentin l'usurière avarice

Je hais plus que la mort un jeune casanier

Je me ferai savant en la philosophie

Je n'ai jamais pensé que cette voûte ronde

Je n'escris point d'amour, n'estant point amoureux

Je ne commis jamais fraude ni maléfice

 

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